L'Eglise s'est toujours opposée à l'avortement. Dès la fin du 1er siècle, on lit, par eaxemple, dans la Didachè ou Enseignement de douze apôtres :
« Tu ne tueras pas l'embryon par l'avortement et tu ne feras pas périr le nouveau-né. »
Aujourd’hui, l’Eglise rappelle, qu’à l'ère des droits humains universels, il ne peut y avoir de droit à supprimer une vie humaine. En constitutionalisant l’avortement comme une liberté garantie, la majorité des responsables politiques français font preuve d’une absence totale d’humanité. Un jour, on se demandera sans doute comment des gens sensés ont pu à ce point être gagnés par les idéologies perverses.
L’illumination de la Tour Eiffel et autres festivités témoignent d’un manque complet de discernement ou pire, d’une volonté explicite de se dresser contre le Créateur.
Mgr Marc Aillet résume le contexte : « C’est historique en effet : la France vient de faire du droit de tuer une loi fondamentale. La Constitution dresse désormais les femmes contre les enfants à naître ! Elle prétend garantir la liberté quand la plupart des femmes n’ont pas le choix. Seigneur prends pitié de nous ! », 4 mars 2024
Constitution et IVG (avortement)
